Nos recherches et projets R&D

IKIM est une plateforme de data-science spécifique à la maintenance prédictive ferroviaire, qui couvre l’ensemble des phases de la récupération de données brutes jusqu’à leur traitement algorithmique et leur interprétation grâce à une visualisation des différents indicateurs. Nous avons développé une approche hybride et modulaire capable de s’adapter à un environnement donné dans le ferroviaire, mêlant machine learning et analyse en temps réel. Ce projet fait notamment l’objet d’une thèse avec Telecom Paris.

Pour le compte de notre client, nous nous appuyons sur la méthode ARCADIA afin de mettre en place un modèle d’ingénierie système qui permettra de créer le futur système de signalisation français.

Nos experts ont également mis en place ce processus de modélisation système afin d’assister les projets innovants pour l’autonomisation des trains grâce à l’Automatic Train Operation (ATO). Notre équipe apporte ainsi son expertise sur de l’ingénierie à haut niveau pour des systèmes complexes.

Ce concept de lunettes intelligentes a été nommé pour le prix AMI de la Société du Grand Paris en 2015. Au croisement des systèmes embarqués, de l’analyse vidéo et du développement logiciel, notre outil de guidage interactif piéton a été créé à destination des usagers malvoyants dans un environnement métro. Il a été développé en interne autour de trois briques technologiques : le positionnement, la navigation et l’interface homme/machine.

Ce projet vise à rendre possible l’automatisation de la réalisation d’études métrologiques en permettant la détection, le stockage et le transfert des valeurs d’accélération, de vitesse angulaire ainsi que des valeurs (jerk, position, etc.) associées à chaque point du trajet, comme le positionnement. Il s’incarne sous la forme d’une balise autonome et intelligente embarquée dans les systèmes de transports.

En collaboration avec la direction de l’innovation de la SNCF, ce projet consiste à dimensionner une alimentation autonome composée de panneaux photovoltaïques, batteries et piles à combustible pour les besoins du réseau ferroviaire.

Afin d’éviter au maximum les erreurs et incompréhensions ayant lieu lors de la phase de définition, au niveau de l’opérabilité, et qui engendrent d’importants surcoûts et délais dans les projets, IKOS a développé une méthode MBSE (Model-based Systems Engineering) associée à un modèle générique et modulaire, permettant donc également de capitaliser l’expérience ferroviaire et faciliter le re-use, accroissant ainsi significativement les performances d’un projet de conception de matériel roulant.

La traction ferroviaire connaîtra d’importants changements et sera électrique. Ainsi pour les réseaux déjà électrifiés, on verra arriver le HVDC (6 ou 9kV), et des « Smart Grids » et « Smart Gares » ferroviaires intégrant parfois des ENR et favorisant toujours la récupération d’énergie au freinage grâce à des sous-stations réversibles couplées à une gestion de l’énergie optimale pour accentuer les économies. Différentes approches sont à l’étude pour les lignes non électrifiées : des matériels roulants zéro émission (100% batterie, ou hydrogène + batterie) avec ou sans électrification frugale.

L’accessibilité aux différents moyens de communication est devenue prépondérante dans la société d’aujourd’hui. Les entreprises de transports comme la SNCF ou la RATP s’allient aux opérateurs télécoms pour proposer à leurs voyageurs des solutions fiables, en s’adaptant aux contraintes posées par la localisation de leurs réseaux de transport (zones blanches, tunnels, etc.).

Le concept de « fondations géothermiques », aussi appelées « géostructures » est le fait de profiter des travaux de construction de fondations d’un bâtiment pour y intégrer des réseaux de fluides permettant de capter la chaleur du sous-sol. Ce procédé a commencé à être mis en place sur des projets de métro à Rennes ou pour le Grand Paris.

Le principal objectif du tram-train est de faire le lien entre les centres-villes et les banlieues éloignées. Sa subtilité technologique consiste à pouvoir s’adapter aux infrastructures des tramways ainsi qu’à celles des trains pour les rails et l’alimentation.

Les automates industriels sont présents dans tous les secteurs d’activité. Ils ont chacun des besoins différents, pourtant les gammes existantes se ressemblent sans être complémentaires. Aujourd’hui, le besoin de simplicité et de rapidité se fait sentir et la technologie optique est l’une des pistes de réponse.